• Voici un texte que j'ai écrit pour une amie très chère à mes yeux après sa demande. Il retrace un peu son histoire d'amour qui est passé du rêve au cauchemar..  Bonne lecture ! :)

    Tu veux que je te dise ce que t'es ? Un connard. Il n'y a pas d'autres mots. Mais vraiment un beau connard. Tu pensais que je n'allais pas m'en apercevoir de ton petit jeu ? Quand je pense qu'avant on était amis..Il a fallut que je tombe amoureuse de toi, que je m'attache comme une folle, et qu'ensuite j'en crève de douleur. Maintenant ton amitié j'en veux même plus... Tu m'as charmé avec tes belles paroles, mais elles n'ont jamais rien signifié pour toi. Moi j'y croyais, je croyais en toi, en nous.. Mais j'ai mal pensé, je me suis trompée.. T'es pas la personne que je pensais que tu étais. Tu m'as voulu, tu m'as eu, et après une fille te suffisait plus. T'étais obligé de draguer toutes les autres.. Et moi dans tout ça ? Tu me disais juste que tu m'aimais. Tu me l'as juste dit, jamais prouvé. Un jour j'étais heureuse, j'entendais tes je t'aime, j'avais le sourire grâce à toi. Et puis le lendemain... Je voyais tout ça, je voyais qu'au fond je comptais pas pour toi.. et que j'ai peut être jamais compter... J'essaye de t'oublier, de plus te parler, de réparer mon coeur brisé. Mais c'est sans compter sur toi qui revient à chaque moment où je commence enfin à aller mieux...  Ma vie devient un enfer, je n'en sors plus.. Je souffre toujours autant.. Et même si je sais que ça s'arrangera avec le temps, j'ai l'impression de ne pas en avoir assez...


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  • J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi. J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger. J'ai ri quand il ne fallait pas. Je me suis fait des amis éternels. J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé. J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer. J'ai crié et sauté de tant de joies, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois! J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos. J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire. J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et... J'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... Mais j'ai survécu! Et je vis encore ! Et la vie, je ne m'en passe pas... Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis! Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose et la vie c'est beaucoup trop pour être insignifiant!

     

    (Photo by me :*)

    Une autre vision de la vie ❤


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  • Je suis sous la douche, l'eau coule le long de mon corps pendant des heures et des heures. Je pense. A quoi ? A lui. Toujours et encore. Je fredonne un air de chanson triste. L'avantage d'être sous la douche ? Personne ne voit mes larmes et personne ne m'entend suffoquer comme si je ne pouvais plus respirer. C'était mon oxygène, ma raison de vivre et maintenant je suis seule. C'est un choix, un choix difficile. Je me rappelle encore de nos premiers moments, de cette timidité de début de relation. Puis peu à peu on s'était découvert l'un à l'autre des qualités qu'on ne connaissait pas. Cet attachement si fort, cet amour qui nous liait. Je me souviens de la sensation de ces bras autour de ma taille. Du bonheur que je ressentais lorsque mon front était contre le sien. On se regardait dans les yeux. Les siens étaient beaux, d'un marron impénétrable, d'une beauté impensable. Je me sentais bien, contre lui j'étais en sécurité. Je posais ma tête sur son torse, il me caressait les cheveux de ses douces mains et j'aimais ça. J'aimais cette proximité, ce contact, et tout l'affection qu'il me portait. Ses baisers aussi, ses câlins, tout en lui me manque. Il me manque. Je ne pouvais jamais lui mentir et je lui disais tout. Ce sentiment de bien-être lorsque j'étais avec lui, plus jamais je ne l'aurais. C'était un amour si parfait, magique, incomparable et unique. Ça l'était tellement, que ça m'a détruit, que ça l'a détruit, que ça nous a détruit. C'était peut-être un peu trop parfait, si parfait que c'est passé du rêve au cauchemar. Nous avons partagé des moments uniques, ceux dont je me rappellerais tout ma vie. C'était mon premier amour, mon premier tout. Lui seul c'est de quoi je parle, c'était le seul à me connaître de cette manière. J'espère le retrouver dans quelques années. Je sens en moi qu'il est ma destinée. Je regrette mes gestes et mes paroles. J'étais à bout. J'espère qu'un jour il saura me pardonner. Les circonstances ont fait qu'on a du se séparer. Mais tôt ou tard je le retrouverais. Je suis la seule qui l'ait jamais vraiment aimé, la seule qui le connaît dans cette intimité.


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  • Si c'est notre destinée, on se retrouvera. Les sentiments ne s'envolent pas comme les oiseaux, ils laissent une empreinte importante dans notre coeur.

     

    Merci la photographe, elle se reconnaîtra. <3 

    Ma photo, merci de ne pas la prendre. et pour les curieux, oui c'est moi sur la photo.


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  • 12 Novembre 2014. Cette date qui a complètement changé ma vie. Alors ça y est j'ai lâché prise, j'ai été lâche. Je l'ai quitté. Je n'en pouvais plus. Je ne pouvais plus continuer alors qu'il n'y avait plus rien. Plus aucune communication, plus aucun partage. Je me sentais abandonnée, seule comme jamais. Je n'ai pas tenu ma promesse, c'est vrai. Est-ce que je regrette ? Terriblement. Mais je ne reviendrais pas en arrière. J'ai voulu tout reprendre, revenir en arrière mais ça n'a pas marché parce que tu as trop changé. Je ne pouvais plus te laisser me parler ainsi, je m'étais promis de lâcher prise si je souffrais trop. Alors je l'ai fait. Je suis partie, et mon coeur est brisé. Demain on sera le 28 Novembre 2014. Ça aurait dû faire exactement 1 an et 5 mois... Mais ce jour n'arrivera pas comme ça, cette date ne sera plus rien... Sauf un souvenir. Un souvenir qui fait mal... Qui me détruit...

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